5 octobre 2008
7
05
/10
/octobre
/2008
13:39
L'activité débordante du Président de la République, ses déplacements incessants, font que le temps manque parfois pour "digérer" ses prises de position. C'est ainsi, qu'à mon avis, le temps a manqué pour que le discours du président Sarkozy du 25 septembre , à Toulon , soit suffisamment connu des Français et pourtant il s'agit d'un discours fondateur.
Je ne peux qu'encourager mes lecteurs à se rendre sur le site de la Présidence de la République, et en passant par "elyséethèque" rechercher le texte sous la rubrique "discours".
Dans ses douze pages et demi dactylographiées, ce texte est à la fois une prise de position sur la crise mondiale actuelle mais aussi une redéfinition de ce qu'est l'analysé du cadre de pensée qui conduit notre politique nationale. "La crise financière, que nous connaissons aujourd'hui... n'est pas la crise du capitalisme. C'est la crise d'un système qui s'est éloigné des valeurs les plus fondamentales du capitalisme..."
Ecartant le capitalisme "spéculateur" et soutenant le capitalisme qui donne la primauté à l'entrepreneur, le Président appelle à "refonder le capitalisme, le refonder sur une éthique, celle de l'effort et du travail..." Le capitalisme financier doit être moralisé et un nouvel équilibre doit être trouvé entre l'Etat et le marché.
De cette analyse découle une intervention nécesssaire de l'Etat pour contribuer à la régulation des marchés, la recherche des responsabilités, la remise en ordre du système financier en refusant un etat prisonnier des dogmes.
En appelant aussi à une action de l'Europe, le Chef de l'Etat définit définit ses propositions d'action pour la France et énonce les mesures que prendra le gouvernement français.
Et le Président Sarkozy conclut ainsi ce texte si important, " ... la France que nous aimons, peut relever ces défis. J'ai confiance dans les Français. J'ai confiance dans les atouts de la France. J'ai la certitude que nos réformes vont porter leurs fruits. J'ai la certitude que par notre travail, la France saura faire sa place dans le monde du XXI° siècle. J'ai la certitude que nous pouvons réussir à refonder le capitalisme."
Je ne peux qu'encourager mes lecteurs à se rendre sur le site de la Présidence de la République, et en passant par "elyséethèque" rechercher le texte sous la rubrique "discours".
Dans ses douze pages et demi dactylographiées, ce texte est à la fois une prise de position sur la crise mondiale actuelle mais aussi une redéfinition de ce qu'est l'analysé du cadre de pensée qui conduit notre politique nationale. "La crise financière, que nous connaissons aujourd'hui... n'est pas la crise du capitalisme. C'est la crise d'un système qui s'est éloigné des valeurs les plus fondamentales du capitalisme..."
Ecartant le capitalisme "spéculateur" et soutenant le capitalisme qui donne la primauté à l'entrepreneur, le Président appelle à "refonder le capitalisme, le refonder sur une éthique, celle de l'effort et du travail..." Le capitalisme financier doit être moralisé et un nouvel équilibre doit être trouvé entre l'Etat et le marché.
De cette analyse découle une intervention nécesssaire de l'Etat pour contribuer à la régulation des marchés, la recherche des responsabilités, la remise en ordre du système financier en refusant un etat prisonnier des dogmes.
En appelant aussi à une action de l'Europe, le Chef de l'Etat définit définit ses propositions d'action pour la France et énonce les mesures que prendra le gouvernement français.
Et le Président Sarkozy conclut ainsi ce texte si important, " ... la France que nous aimons, peut relever ces défis. J'ai confiance dans les Français. J'ai confiance dans les atouts de la France. J'ai la certitude que nos réformes vont porter leurs fruits. J'ai la certitude que par notre travail, la France saura faire sa place dans le monde du XXI° siècle. J'ai la certitude que nous pouvons réussir à refonder le capitalisme."