J'avais dénoncé au mois d'octobre dernier, dans un article, le "vent mauvais" qui soufflait sur la vie politique française, où une opposition socialiste déchainée et certains périodiques tiraient à boulets rouges sur le Président Sarkozy créant un véritable climat de guerre civile larvée.
Le droit à la liberté de critique par l'opposition est détourné en une une véritable mise en cause de la France elle-même.
Si l'on en croit la "pensée unique" dominante, véhiculée par l'opposition mais aussi par de nombreux journalsites ex-gauchistes, notre pays serait sur une pente descendante, accablé des erreurs du passé, traumatisé par les remords des crimes de la colonisation et de la collaboration pendant la guerre, allant d'échecs en échecs et perdant tout écho dans le monde, tandis que la préoccupation quotidienne dominante de nos gouvernants serait de savoir quelle mesure nuisible ils allaient prendre contre la population française.
Il suffit de quitter notre pays quelques jours pour avoir une meilleure appréciation de la situation et constater que cette vision"catastrophiste" est fausse.
Certes, sous l'effet notamment de la grande crise économique internationale que nous venons de traverser, nous rencontrons d'importantes difficultés mais l'action personnelle du Président de la République a permis que la crise frappe moins la France que certains de ses voisins.
L'exemple de la querelle sur l'âge de la retraite est affligeant. Non, le gouvernement n'a pas souhaité ( mu par je ne sais quel esprit sadique) porter atteinte au droit à la retraite. Il a, au contraire, pris les mesures minimales pour que les retraites puissent continue rà être payées . Et l'allongement de la durée des cotisations a été moindre que chez la plupart des pays européens (souvent diirigés par des socialistes).. Et pourtant Mme Aubry nous annonce qu'en cas de victoire elle reviendrait à la retraite à 60 ans (sans indiquer comment on pourrait la payer)..
Les tenants du "déclinisme" rabâchent sans cesse que la France est sur une pente descendante et perd son audience internationale.
Il faut quand même rappeler à ces messieurs et ces dames qui semblent se vautrer dans l'abaissement de la France, que nous restons l'un des cinq pays les plus riches du monde, que nous continuons à être un des membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies, une des vraies puissances militaires nucléaires et à l'avant-garde de l'industrie nucléaire (et malgré les précautions nécessaires à prendre, l'avenir du nucléaire ne sera pas supprimé par le drame japonais).
La France qui reste aussi la première destination touristique du monde, demeure par sa participation à Airbus, par sa maîtrise des trains à grande vittesse et par tant d'autres activités de pointe que nous ne sommes pas absents du progrès industriel. N'oublions pas non plus notre rang - parmi les premiers - dans la production mondiale de médicaments.
Notre pays , ce que beaucoup ignorent, dispose encore du deuxième réseau diplomatique de la planète et la voix de la France se fait entendre.
La France reste une puissance interventionniste dans le monde. Pour ma part je salue le courage du Président Sarkozy et l'intervention active de notre pays en Côte d'Ivoire et en Libye.
Aucune action n'est parfaite. Aucune comportement n'est exemp de crtiqiues et le droit à la critique es tindispensable. Mais l'anti-sarkozysme primaire qui règne dans certains milieux et qui s'accompagne souvent d'une véritable haine que rien ne justifie devient insupportable. TROP C'EST TROP. !
Dans ces conditions, la seule issue raisonnable, quelques puissent être les réserves des uns et des autres, est de serrer les rangs autour de Nicolas Sarkozy et de la soutenir !