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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 19:29


 Pendant les mois qui ont précédé l'élection présidentielle, les leitmotivs les plus répétés étaient que la Veme République était moribonde et que les Français se désintéressaient de la politique.

 On commençait à parler de la VIème République si ce n'est de la VIIème ème.

 La campagne a été claire, grâce à Nicolas Sarkozy qui a multiplié les propositions concrètes et facilement compréhensibles. La "langue de bois" a souvent été  absente et les Français se sont intéressés à cette consultation életorale comme ils ne l'avaient jamais fait auparavant.  Les réunions publiques - de toutes tendances - ont vu accourir des publics innombrables.

 Bref l'élection présidentielle au suffrage universel, clef de voûte de la 5 ème République a été littéralement plebiscitée.

 Il reste donc à donner au nouveau Président, la majorité parlementaire qui lui est indispensable pour agir et appliquer son programme.

 Avec habileté le Président Sarkozy a pu rapidement démontrer que son objectif n'était pas de contruire un bunker UMP fermé mais d'ouvrir le plus largement possible sa majorité, rendant dérisoires les accusations souvent diffamatoires que certains orateurs de gauche ou du centre n'hésitaient pas à porter contre le candidat de l'U.M.P.

 Si, comme tout semble l'indiquer, la Majorité présidentielle doit emporter les prochaines législatives, la mécanique de la Vème République pourra fonctionner au mieux.

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 10:37


 Dans sa longue histoire, la russie n'a guère été accoutumée à vivre libre.

 Même si la Russie impériale a connu une libéralisation partielle à la sutie de la Révolution de 1905, elle n'a connu de vraie liberté politique que pendant les quelques mois qui ont séparé la Révolution de février - mars 1917 de la prise de pouvoir par les Blocheviks en octobre - novembre 1917.

 Depuis et jusqu'à l'arrivée de Boris Eltsine, elle n'avait connu que la dictature du Parti Communiste, légèrement atténuée sous Gorbatchev. Les années eltsine ont été pour la Russie des années de vraie liberté politique.

 J'ai pu le constater par deux fois, ayant été observateur international lors des deux élections auxquelles Eltsine a été candidat.

 La première fois, à Moscou, désigné par l'Assemblée de l'Atlantique Nord ( qui s'appelle aujourd'hui Assemblée Parlemetnaire de l'OTAN) et la seconde fois, en juin 1996, envoyé par l'Assemblée Nationale française, à Ekaterinenbourg.

 Les deux fois, j'ai pu constater que la campagne électorale avait été "ouverte", même si les médias gouvernementaux appuyaient un peu massivement le Président eltsine. La concurrence régnait à la télévision et la presse foisonnait de titres divers.

 Les partis politiques étaient présents partout, même s'ils ne semblaient pas disposer de solides organisations nationales, à l'exception de deux partis d'opposition : le parti communiste- présent partout - et le PartiLibéral Démocrate de Russie, de l'extrèmiste Jirinovski.

 Les opérations de vote étaient parfaitement correctes et les résultats peu contestables.

 Certes, la situation économique était dramatique et l'adaptation à la concurrence s'était fait au profit des oligarques. Les Russes connaissaient une colossale chute de leur niveau de vie. Aussi ont ils accueilli avec satisfaction l'arrivée de Vladimir Poutine qui a rétabli l'ordre et redéveloppé l'économie.

 Depuis son arrivée, les médias d'opposition ont progressivement disparu. Les chaînes de télévision gouvernementales ont peu à peu éliminé celles qui ne soutenaient pas le nouveau président et la presse libre s'est considérablement rétractée. A un régime de totale liberté a succédé un régime de liberté réduite.

 C'est pour cela que, malgré ses défauts, ses faiblesses, ses échecs, je tines à rendre hommage à la Mémoire de Boris Eltsine qui a su incarner la Russie Libre.


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18 mars 2007 7 18 /03 /mars /2007 18:55


 Je ne suis pas de ceux qui ont le culte absolu des Constitutions ( même si j'ai combattu pour la mise en place de la consitution de 1958 puis pour sa défense). Celles-ci ne sont pas éternelles et la France est bien placée pour le savoir.

 La Constitution de la Vème République est attaquée depuis de nombreux mois. Certains souhaitent un renforcement des pouvoirs du Parlement. D'autres verraient bien une 6 ème République présidentielle à l'américaine.

 La constitution inspirée par le Général de Gaulle en 1958 et mise en forme par Michel Debré a déjà été modifiée à de nombreuses reprises. La modification récente la plus importante a été le remplacement du septennat par le quinquennat, ce qui a déjà modifié l'équilibre institutionnel.

 Mais, dans l'ensemble, on peut constater que cette constitution qui va bientôt avoir 50 ans, a assez bien fonctionné et assuré ce qui manquait , la stabilité de l'exécutif. Elle a été assez souple pour absorber la crise due à la guerre d'Algérie et à l'indépendance des pays d'outremer et pu mener à bien un cohabitation imprévue. Elle a d'autant mieux fonctionné qu'outre la constitution avait été adopté le scrutin majoritaire uninominal qui assure à la fois le lien des élus avec les électeurs et l'existence d'une majorité de gouvernement qui ne soit pas soumise aux chantages de petits groupes minoritaires.

 Dans la campagne présidentielle actuelle, le danger qui menace le plus nos institutions vient de la campagne de Francois Bayrou. Celui-ci préconise une sorte d'alliance des contraires et s'engage à rétablir le scrutin proportionnel.

 S'il ne faut pas exclure l'idée d'une petite dose de proportionnelle (comme dans le systême allemand) afin que certains partis présents de façon permanente dans le corps électoral mais vaincus par le scrutin uninominal puissent être représentés (c'est le cas du Front national et des partis trotskistes) il n'est pas  question d'accepter un retour à la proportionnelle  pour l'ensemble de l'élection parlementaire. CE SERAIT REVENIR A LA QUATRIEME REPUBLIQUE !

 Certains l'ont dit, mais sans donner de précisions. Or, cette évocation de la "4 ème" n'a aucun sens pour la majorité des électeurs qui sont nés après la chute de  cette république.

 Il faut le dire clairement. Le scrutin majoritaire pousse à l'union alors que le scrutin proportionnel pousse à la division et à la multiplicité des partis et aboutit à l'instabilité permanente. Les douze années de la 4 eme  ont connu 22 gouvernements. Cela a empêché les grandes réformes nécessaires et la maîtrise des problèmes liés à la décolonisation en Indochine et en Afrique du Nord.

 La guerre d'Algérie a mené ce régime à l'effondrement . A cela s'ajoutait les problèmes financiers. Les gouvernements faibles n'arrivaient pas à maîtriser les questions financières et il était habituel de voir les dirigeants français aller mendier des aides financières aux Etats Unis.

 C'est à celà que le Général de Gaulle a remédié en faisant adopter les institutions de la 5 eme République . Il n'est pas étonnant que ce soit un centriste comme M. Bayrou qui défende la thèse du retour à la proportionnelle. Les partis centristes issus du Mouvement Républicain Populaire, de tendance démocrate-chrétienne, se sont souvent succédés à la tête de ces pauvres gouvernements, très souvent composés d'hommes de grande valeur mais paralysés par un système qui conduisait à la débilité du pouvoir, alternant l'alliance avec les socialistes et l'alliance avec la droite.

 ATTENTION, DANGER !




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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 18:24

 

 Je viens de lire le numéro de mars de la revue L'HISTOIRE qui titre "COLONISATION , LES MASSACRES OUBLIES : Sétif 1945 - Madagascar 1947 - Cameroun 1955 " et j'en recommande la lecture.

Evoquant à ce propos "Les Brûlures de la colonisation" la revue écrit :" depuis quelques années, la mémoire de la colonisation s'est imposée dans les débats de société, entre revendications, repentance et commémorations officielles. Pourtant Sétif en 1945, Madagascar en 1947, le Cameroun en 1955 : il reste encore, dans l'histoire coloniale des épisodes oubliés, occultés... ou déformés. Le temps est venu d'une histoire dépassionnée".

Les textes consacrés à ces trois évènements dramatiques sont honnêtes. Il ne s'agit pas de nier des réalités même déplaisantes, mais il faut aussi les ramener à leurs véritables proportions. Et l'on s'aperçoit que, années après années, les chiffres des vicitmes ont été "gonflés".

Le jour où l'Allemagne hitlérienne dépose les armes, le 8 mai 1945, une manifestation tourne à l'émeute à Sétif. Des Européens sont massacrés. La répression sera terrible. "L'HISTOIRE"  fait le  bilan. Les victimes européennes des 8 et 9 mai 1945 ont été comptabilisées (102 morts, 110 blessés, 10 femmes violées ). "Le nombre exact des victimes algériennes de la répression ne sera certainement jamais connu. Le chiffre de 45.000 morts avancé par la propagande officielle de l'Etat algérien ne repose sur rien. Quant à celui de 1.500 morts donné par le ministre de l'intérieur de l'époque, Adrien Tixier, il est vraisemblablement inférieur à la réalité. L'historien en est réduit à parler de "milliers de morts".

A Madagascar une insurrection a commencé les 29 et 30 mars 1947. Elle n'a touché qu'un sixième de la Grande Ile, sur la côte orientale. Il semble que la responsabilité du Mouvement Démocratique de Rénovation Malgache ait été exagérée, sauf peut-être pour Joseph Raseta. Par erreur le Haut Commissaire, Pierre de Chevigné, avait évoqué le chiffre de 80.000 à 100.000 morts dont 75.000 seraient à comptabiliser au passif des rebelles.

En réalité, les chiffres sont heureusement moins importants. "L'Histoire" estime le nombre des morts entre 30.000 et 40.000 morts : 10.000 victimes de mort violente , réparties d'une part entre   les civils victimes des insurgés (2.000 au plus) ou des crimes de guerre coloniaux (entre 1.000 et 2.000 ) et d'autre part entre 5.000 et 6.000 insurgés tombés face aux militaires français aux quels s'ajoutent entre 20.000 et 30.000 morts de malnutrition ou de maladie.

Au Cameroun, une guérilla menée par l'Union des Populations Camerounaises, formation nationaliste et marxiste, proche du Parti communiste, dont le leader charismatique  était Ruben Um Nyobé a duré sept ans, de 1955 aux années 1960. Le bilan de ce conflit n'a pas été établi " et cette carence a été propice à la concurrence victimaire : certains parlent du massacre de 300.000 à 400.000 personnes... Une estimation d'autant plus fantaisiste qu'elle excède le chiffre total des habitants du pays Bamiléké, principal théâtre du conflit. Plus vraisemblablement la guerre a fait plusieur dizaines de milliers de morts, principalement des victimes de la guerre civile, après l'indépendance.

Rien de tout celà n'est très brillant mais est fort éloigné des évaluations de ceux qui donnent en permanence des leçons à notre pays et le poussent au remords permanent, notamment ces socialistes qui ont aujourd'hui des absences de mémoire, oubliant que pendant toutes ces crises et ces conflits, les socialistes étaient au pouvoir.

Quant aux dirigeants algériens qui nous font la leçon, ils oublient qu'ils ont été les auteurs des massacres de nombreux civils français (d'origine européenne ou nord africaine), de l'assassinat massif des harkis et de l'élimination physique - non moins massive - des militants nationalistes algériens du M.N.A. dont ils ne supportaient pas la concurrence.





 

 

 

 

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6 février 2007 2 06 /02 /février /2007 11:03


 Françoise de Panafieu et les maires de droite de Paris ont organisé au Cinéma Max Linder une présentation du fil de l'ancien vice-président des Etats Unis, Al Gore, adversaire malheureux de George W. Bush (bien qu'ayant obtenu un total de voix supérieur à celui-ci) consacré au "réchauffement climatique".

J'ai vu ce fil avec grand intérêt. N'étant pas spécialiste de ces questions j'y ai beaucoup appris et je recommande à tous ceux qui auraient la possibilité de voir ce film d'y courir. Il a un caractère pédagogique très développé.

On peut certainement discuter les conclusions qu'en tire Al Gore, mais les images sont très parlantes et font apparaître une triste réalité. La comparaison à quelques dizaines d'années de distance entre les "neiges du Kilimanjaro" telles qu'elles étaient et telles qu'elles sont aujourd'hui, ou l'Himalaya d'hier et celui d'aujourd'hui, démontre la réduction catastrophique de l'enneigement. Il en va de même pour le Groenland ou les terres de l'Antarctique qui subissent une fonte accélérée.

De la même manière l'extension de la sécheresse en Afrique  est "parlante".

La thèse défendue par Al Gore - et la plupart des spécialistes - est que ce réchauffement climatique est pour l'essentiel dû à l'activité humaine. Un exemple que j'avais pu observer sur place, le confirme. Les vues d'Haîti et de la République dominicaine sur leur frontière sont explicites. A Haïti une politique de déforestation a été  suivie et la verdure a disparu, tandis qu'elle a été protégée en République dominicaine.

La multiplication  effarante de la population mondiale au cours des cinquante dernières années fait peser un lourd poids sur les consommations et d'abord celled e l'eau. Ce aspect a été mentionnés dans le film dAl Gore mais pas développé. Il faudrait arriver à convaincre les pays du Sud de freiner la croissance de la natalité. Ce ne sera pas facile pour des raisons d'ordre religieux.

Les menaces pour l'avenir, y compris un avenir proche, comportent une multiplication de canicules, des inondations et la mise en danger de certaines cités côtières. Il semble y avoir un décalage entre les prévisions de hausse du niveau des mers ( plusieurs mêtres sont évoquées dans le film) et les évaluations de certains spécialistes qui sont en dizaines de centimêtres.

En cause l'effet de serre et le problême du CO2, dont on parle souvent, mais aussi du méthane dont on entend rarement parler. En bref, les activités polluantes.

Le Président Chirac a eu raison de réunir une Conférence internationale à Paris sur ces problèmes avec l'objectif de créer une organisation de l'ONU consacrée à l'Environnement.

La France qui a signé et appliqué le Traité de Tokyo n'est pas mal placée sur le plan mondial dans le domaine des économies d'énergie.

Rappelons que depuis le premier choc pétrolier, à l'époque du Président Pompidou,(qui avait créé le premier ministère de l'environnement, en France,  dirigé par Robert Poujade)  la France a développé une véritable politique d'économie d'énergie. Souvenez vous du slogan de l'époque :"la France n'a pas de pétrole  mais elle a des idées".

D'autre part le choix français de maintenir sa production d'énergie d'origine nucléaire, donc sans action sur la couche d'ozone a été salutaire, contrairement aux affirmations des soi-disant "écologistes". Il est dramatique d'entendre Ségolène Royal évoquer une limitation ou une diminution de la part du nucléaire dans la fourniture d'énergie. Il est par contre nécessaire d'augmenter en priorité les investissements pour développer la recherche pour arriver à une solution satisfaisante pour l'élimination des déchets d'origine nucléaire.

Devant les menaces qui pèsent sur notre planête, l'écologie devient  une donnée primordiale qu'aucun politique ne peut plus négliger.


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20 janvier 2007 6 20 /01 /janvier /2007 11:14


  Madame Royal devrait, si elle souhaite poursuivre ses voyages touristico-politiques méditer ce vieil aphorisme :"La parole est d'argent mais le silence est d'or".

   En effet, on attend d'une candidate à la magistrature suprême autre chose que des propos autour d'une tasse de thé ou des à peu-près linguistiques.

   Après avoir imprudemment évoqué d'une manière favorable la rapidité de la justice chinoise qui ressemble peu à la justice, sans penser à la répression systématique  ni à l'ampleur des condamnations à mort suivies d'exécutions, elle a évoqué les"droits humains" au lieu des "droits de l'homme".

   Quelques jours plus tard la Chine populaire a montré sa haute appréciation de ses considérations en opposant  à l'ONU, avec la Russie, son veto (ce qui est très rare) à une résolution américaine dénonçant les violations répétées  des droits de l'homme par la dictature militaire du Myanmar (ex Birmanie).

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11 novembre 2006 6 11 /11 /novembre /2006 18:27


 Les films à sujets historiques ne sont pas rares, mais les vrais films d'histoire le sont.

A cettte derenière catégorie appartiennent deux grands films qui sont présents depuis peu sur les écrans : INDIGENES et O JERUSALEM.

INDIGENES, de Rachid Bouchareb, raconte l'histoire d'une unité de l'Armée d'Afrique composée de Maghrébins et, en plus petit nombre d'Africains, pendant la Seconde guerre mondiale, entre 1943 et 1945 qui se battent pour "libérer la Mère Patrie". Les combats les mèneront en Italie (Monte Cassino), en Provence puis en Alsace. Les pertess eront immenses.

Ce film, réalisé avec un très large concours du Royaume du Maroc, décrit aussi, avec beaucoup de discrétion, certaines pratiques discriminatoires dont sont victimes ces soldats, mais met envaleur l'attachement de ces hommes à la France qu'ils ne connaissent pas et  l'une des scènes les plus émouvantes est celle au cours de laquelle un petit groupe, à Monte Cassino, plante un drapeau français aux cris de "VIVE LA FRANCE".

Ce film n'est pas neutre. Son objet est clairement de rappeler aux Français le rôle des troupes nord-africaines dans la Libération de la France, dont témoignent les tombes des cimetières militaires. Mais il a aussi un qutre effet, il montre  aux jeunes d'origine maghrébine de nos banlieues, s'ils voient le film, que pour leurs parents ou leurs grands parents, la France n'était pas une terre étrangère.

L'interprétation est excelllente et justifie pleinement le prix d'interprétation collectif obtenu au Festival de Cannes 2006.

Une réserve, toutefois, rien n'indique dans le film que l'Arméed'Afrique n'était pas composée uniquement d'"indigènes".

De 1943 à 1945 cette Armée d'Afrique comprenait aussi 155 000 Pieds Noirs d'Algérie (Chrétiens et Juifs) qui eurent 10 729 morts et 31 298 blessés.

Les Musulmans du Maghreb y étaient 233 000 (Algérie 134 000, Maroc 73 000 et Tunisie 26 000) qui eurent 11 700 morts et 39615 blessés.

Cette Armée d'Afrique ne comprenait ps les Divisions Françaises Libres (dont la 2e D.B.).

O JERUSALEM

Le film d'Elie Chouraqui est adapté du célèbre best seller de Dominique Lapierre et Harry Collins.

Il nous montre avec beaucoup de talent la situation en Palestine, sous mandat britannique, au moment du vote de la résolution des Nations Unies partageant la Palestine entre un Etat juif et un Etat palestinien.

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24 mai 2006 3 24 /05 /mai /2006 07:27
Pendant plusieurs années j'ai publié une "Lettre Politique de Claude-Gérard Marcus".
Son but n'était pas de satisfaire mon ego, mais d'analyser les évènements, notamment
en politique étrangère, à la lumière de l'expérience que m'ont donnés 35 ans de
mandat municipal et 29 ans de mandat parlementaire (tant à l'Assemblée nationale
qu'à l'Assemblée parlementaire de l'OTAN)et près de 25 ans à la commission des
Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.
La formule de cette lettre avait vieilli et sa diffusion postale était trop coûteuse.
La formule plus moderne du Blog me parait plus adaptée aux réalités actuelles
et sera completée par une Newsletter.
Je souhaite, si la technique et mes moyens modestes le permettent, pouvoir
dialoguer avec ceux qui voudront bien me lire.
La formule du blog permet une grande liberté d'expression.
C'est une conquête positive de notre époque.
Plus que jamais je mènerai le combat contre la langue de bois et la pensée unique.


A bientôt.


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